Le sujet est vaste. Nous ne pouvons prétendre le traiter dans sa totalité. Par ailleurs il ne serait pas productif de se borner à reprendre les commentaires généralement pertinents des médias tunisiens et européens. Limitons-nous à quelques points qui mériteraient évidemment d’être discutés plus longuement mais qui sont à cette heure insuffisamment mis en valeur selon nous.
* Nous sommes tous tunisiens. Cette formule veut dire, au delà des condoléances, que les djihadistes de Tunis ne sont qu’une variété de ce qu’il faut bien nommer un véritable cancer qui envahit toute l’humanité. Ses composants en sont non seulement l’islamisme (qu’il soit radical ou « modéré », sur le mode turc), mais tous les extrémismes religieux permettant aux instincts les plus destructeurs dont est dotée l’espèce humaine de se déchainer. Parmi ces extrémismes, faudra-t-il compter désormais les fondamentalisme hébraïques, hindouistes et même chrétiens, notamment sous leur forme dite « évangélique » ?
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