Une vague de cyber-attaques sans précédent touche les collectivités. Sans danger pour les entités visées, elle soulève la question plus large de la sûreté digitale et du retard à rattraper sur les pirates.
L’onde de choc n’en finit pas s’étendre. Dans la foulée des attentats perpétrés à Paris les 7 et 8 janvier derniers, une déferlante de cyberattaques a frappé plus de 21.000 sites Internet français, dont une partie de collectivités territoriales. Les visiteurs de ces sites se sont trouvés face à des messages allant de la simple revendication d’appartenance à la communauté musulmane jusqu’au piratage de bases de données en vue de les diffuser publiquement.
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