Le Bureau régional de l’OIM pour l’Amérique du Sud et INTERPOL co-organisent, cette semaine, un atelier de deux jours pour mieux comprendre les liens entre les nouvelles technologies, la cybercriminalité et la traite des personnes.
Pendant deux jours, environ 50 enquêteurs de la police spécialisée, procureurs et experts en cybercriminalité venus de toute l’Amérique du Sud se réuniront à Buenos Aires, en Argentine, pour partager leurs expériences avec des experts internationaux clés, notamment des représentants de Facebook, du Projet Polaris, du Projet de technologie et de traite et du Centre international pour les enfants disparus et exploités.
« Nous entendons de plus en plus parler des réseaux sociaux dans le cadre de notre travail de lutte contre la traite », explique Rosilyne Borland, spécialiste régionale de la lutte contre la traite à l’OIM. « Non seulement le recrutement a lieu en ligne, mais dans certains cas, les victimes de traite nous ont contactés par Facebook et nous avons pu travailler en coordination avec la police locale pour les aider. »
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